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tour sombre (La), tome 4 - Magie et cristal
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King, Stephen 
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Comment faire, puisque apparemment il faut mettre des critiques qui comportent plus qu'un seul ou que quelques mots. Moi, j'avais envie d'un mettre un seul : magnifique! Alors j'en ajoute d'autres : extraordinaire, du grand art, de la littérature sublime. La magie de cette saga monte au fur et à mesure des volumes. Mais je suis impatient, après celui-ci, de découvrir les autres tomes. Quoique, si King fait mieux que celui-ci, ce n'est plus le King, mais peut-être Dieu en personne. Non, j'exagère peut-être, mais quand même. Ce volume vaut à lui seul le détour. Attention, il faut prendre cette saga à partir du premier volume, ou alors on loupe vraiment quelque chose.
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Ramon
(première critique)
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Genre : Science fiction et Fantaisie
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9/1/2007
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ajoutez votre critique |
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tour sombre (La), tome 4 - Magie et cristal
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indisponible
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King, Stephen
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Roland de Gilead, le fameux pistolero, toujours accompagné par Jack, Eddie et Susannah, se retrouve pris au piège de son passé. Il ne lui reste comme option que de raconter sa jeunesse, lui le taciturne, à ses compagnons de route. On le découvre alors, à peine adolescent, au sein de Gilead ainsi qu'Alain et Cuthbert, ses premiers compagnons de route. Piégé, Roland passe avec succès l'épreuve qui va faire de lui un pistolero bien avant l'heure et se retrouve, certes, vainqueur, mais aussi investi d'une mission-exil. Mission qui le mènera loin de chez lui dans une affaire compliquée concernant des armes cachées. Bien des déboires seront la punition de ces jeunes un peu trop curieux. En parallèle à ces intrigues qui font partie de l'histoire de fond de la Tour sombre, Roland tombe amoureux de Susan Delgado, une jeune femme locale pour qui il mettra en daanger tout son clan, reniant ses valeurs.
Ceci ne résume que le début de l'intrigue. Les 860 pages du roman, malgré quelques longueurs, méritent d'être préservées. Le pari de King était osé. Faire l'introspection d'un personnage sur une telle longueur ne lui était pas coutumier. Et ce n'était pas gagné d'avance. Mais il fut à la hauteur de son personnage, qui ne méritait pas moins. Une histoire d'amour qu'il décrit de façon touchante sans naïveté ni bons sentiments à l'excès. Le caractère si mystérieux de Roland dans les premiers volumes se forme et s'explique auprès de ses compagnons de route de sa jeunesse.
Ce qui ne dénature en rien le mystère du personnage.
L'introspection de Roland est bien plus réussi que celle d'Eddie ou de Susannah. Ces deux derniers venaient de notre monde pour plonger dans la dimension de la Tour sombre, et leur environnement de départ, pour une fois chez King, ne résonnait pas particulièrement bien. Il y arrive parfaitement bien avec Roland. Seul Jack, l'enfant, avait eu droit à une description des plus réussies, notamment lorsqu'il revivait les événements qui l'avaient conduit une première fois à sa mort.
C'est aussi dans ce quatrième volume que se fait au mieux sentir le côté Fantasy du roman. La magie y est beaucoup plus présente comme élément perturbateur de l'intrigue, et plus seulement comme composante de l'atmosphère de ce monde. Les 860 pages de l'intrigue ne font pas avancer la quête de Roland, et placer un si gros volume maintenant aurait pu être un échec. C'est une totale réussite.
Ce quatrième volume à lui seul justifie la lecture des précédents pour pouvoir se régaler de ce joyau de Stephen King.
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Cédric Blanchard
(15 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Science fiction et Fantaisie
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| | | Date :
8/1/2006
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ajoutez votre critique |
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tour sombre (La), tome 4 - Magie et cristal
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indisponible
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King, Stephen
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Suite des Terres perdues : nous avons enfin la fin de la confrontation entre la troupe du pistolero et Blaine. Mais la suite, même si elle a
son intérêt, est plutôt décevante : le pistolero a un cœur.
En effet, King nous fait découvrir les causes du départ de la quête.
Histoire d'amour du pistolero avec son seul amour. Les scènes
d'action se font attendre et le pistolero, comme à son habitude, est
difficile à comprendre. Néanmoins, la fin vaut le détour puisque le
pistolero, âgé de 12 ans, a déjà l'âme solitaire qu'on lui connaît.
De
plus, les personnages plus démoniaques entrent en jeu et la fin nous
remet sur le chemin de la tour sombre.
J'attends le 5e tome avec plus d'impatience, surtout que le parcours
du pistolero est de plus en plus mystérieux et les dangers plus
spectaculaires.
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Cédric Roiron
(9 critiques, cliquez pour les voir)
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Genre : Science fiction et Fantaisie
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| | | Date :
avant 2001
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ajoutez votre critique |
Livre(s) de Stephen King critiqué(s) sur le Guide
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En ligne : 62440 visiteur(s)
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